mon oeil sur la planète

le blog écolo et responsable qui ne se prend pas au sérieux !

Quittez l’aspartame pour des sucres plus naturels 12 mars 2011

Filed under: Alimentation — greenmarie @ 2:38
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Sommes nous à l’aube d’un scandale sanitaire ? l’Aspartame, alias l’édulcorant E951, présent dans près de 6000 produits de consommation courante comme les chewing-gums, les sodas, les yaourts, les médicaments, globalement tous les produits dits sans sucres & light, est de plus en plus montré du doigt.

  • Plusieurs raisons à cela :

> son homologation ne doit rien à sa soi-disant innocuité mais plutôt à des pressions politiques : en 1980, un comité d’enquête de la Fédéral Drug Administration américaine conclut qu’il ne faut pas autoriser l’aspartame. En 1981, Donald Rumsfeld , qui fut pdg de Searle le labo qui a inventé l’aspartame, rejoint l’équipe de Ronald Reagan fraichement élu président des Etats-Unis et participe à la nomination du nouveau président de la FDA. Surprise : quelque temps plus tard l’aspartame est déclaré sans danger.
> L’innocuité de cette substance chimique avait été déclarée sur la base d’études fournies par le labo inventeur ! Or de nombreuses études scientifiques contradictoires basées sur des tests de souris ont montré des risques de troubles du système nerveux, de tumeurs cérébrales, de cancer du foie et du poumon.

La conclusion de cet exemple qui pourrait tout aussi bien être celui du Bisphénol A dans les biberons : « Nous ne sommes pas protégés par les institutions censées protéger notre santé » déclare André Cicolella, chimiste toxicologue, président du Réseau Environnement Santé, dans le Télérama de cette semaine.

  • Il y a des alternatives non chimiques à l’aspartame et au sucre blanc (ce dernier est pauvre en éléments nutritionnels et fait grimper très rapidement le taux de glycémie et donc les risques d’inflammations propices au cancer ; David Servan-Schreiber dans son livre Anticancer conseille d’abandonner ce type de sucre raffiné) :

la Stevia, une plante sud-américaine hautement sucrante (200 à 300 fois plus que le sacharose), naturelle et sans calories. A elle seule elle pourrait révolutionner le secteur du light… les Coca et autres Pepsi seraient sur le coup !

le miel

le sirop d’agave

– et pour les mordus du sucre cristallin, on peut choisir du sucre non raffiné, issu du commerce équitable.

Bref, vous l’avez compris, il n’y a pas de fatalité à consommer des produits chimiques !  Ouf, la gourmandise est sauve 😉

Sources : Télérama n°3191 mars 2011, Terra Eco n°23 mars 2011, arte.fr extraits de Notre Poison Quotidien de Marie Monique Robin. Diffusion – événement le 15 mars à 20h40 sur Arte.

Et pour aller plus loin l’article très détaillé sur le site Owni : http://owni.fr/2011/03/15/les-dangers-de-l’aspartame-et-le-silence-des-autorites-publiques/

 

Ekobo : bambou, bo, écolo ! 9 janvier 2011

Filed under: Marques responsables — greenmarie @ 9:06
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Voilà une marque dont je voulais vous parler depuis longtemps car sa démarche écologique est intimement liée à sa stratégie : Ekobo conçoit et fabrique des objets de déco et mobiliers en bambou.

Le bambou est un matériau écologique : renouvelable, poussant naturellement, extrêmement vite, ne nécessitant aucun produit phytosanitaire, et produisant même plus d’oxygène que certains arbres ! (d’expérience, en revanche, n’en plantez pas dans votre jardin, c’est très envahissant !!! laissez les en pot ou circonscrits dans un bac).

C’est ainsi qu’avec l’essor de l’éco-conception, on trouve de plus en plus de bambou dans la composition des tissus, des meubles et d’objets de déco.

La démarche d’Ekobo ne s’arrête pas au matériau : les objets sont fabriqués à la main, au Vietnam dans un esprit équitable, emballés dans du papier recyclé et expédiés, dans les pays où ils sont distribués, par voie maritime. Chez moi, nous avons opté pour une coupe à fruits et un siège pour les enfants. Ils l’ont adopté tout de suite – il faut dire que quand on le retourne on peut remplir le siège de petites voitures et autres Lego ! –

Gamme de couleurs très sympa, produits légers, style épuré et design, écologiques, éthiques : moi je suis fan, et vous ?

http://www.ekobohome.com/indexFR.html

 

Un New-York inattendu 1 novembre 2010

Deuxième et dernière carte postale de New York : je me suis baladée dans le marché de Union Square (Upper East Side) d’abord amusée de voir des citrouilles partout et certains vendeurs déguisés – Halloween c’est du sérieux là bas ! -, ensuite j’étais surprise de voir des fruits et légumes partout quand on voit ce que mangent les américains !!!

En fait, il s’agissait d’un marché de produits locaux, biologiques ou encore en provenance directe du producteur. C’est ainsi qu’en plus des pains d’épices, miels, plantes aromatiques, champignons bizarres, fruits et légumes à profusion, j’ai vu des éleveurs de moutons vendre la laine, les peaux mais aussi de la viande sous vide dans des glaciaires !!!! Et ça marche, le marché ce samedi était très fréquenté !

Derrière le marché, se trouvent aussi  des poubelles dédiées au compost dans lesquelles les habitants du quartier apportent leurs épluchures et autres déchets organiques.

J’avoue que j’ai été surprise par les différentes marques de prise en compte des impératifs environnementaux dans cette ville : bus hybrides, poubelles de tri en ville, recyclage dans les restaurants, offre de cafés équitables et biologiques dans les chaînes Starbucks ou Prêt à manger, jusqu’au vénérable Empire State Building qui revendique désormais une baisse de 38,4% de sa consommation énergétique après un ambitieux programme de travaux !

Biensûr tout cela n’est pas idyllique, New York n’est pas représentatif des Etats-Unis et le mode de vie américain et notamment l’alimentation à emporter génère énormément de déchets : les new-yorkais emportent leurs cafés et repas dans un nombre incalculable d’emballages en carton, plastique, aluminium, etc… manger sur le pouce est plus courant que s’asseoir au restaurant pour manger dans de la vaisselle. Les changements culturels sont longs mais je fais confiance au dynamisme américain pour transformer une contrainte en une opportunité de business !

Best Regards xxx

Green Marie

 

Pour tout savoir sur le commerce équitable 24 octobre 2010

Filed under: Alimentation,Les bonnes pratiques — greenmarie @ 8:42
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Le commerce équitable progresse en France mais une étude réalisée le mois dernier montre que l’appréhension du sujet par le grand public est contrastée :

> les français connaissent le terme de commerce équitable à plus de 80% mais la moitié seulement sait de quoi il s’agit exactement,

> 62% des personnes interrogées déclarent avoir déjà acheté au moins un produit issu du commerce équitable, mais seulement 22% en achètent une fois par mois,

> la filière souffre d’un déficit de lisibilité du fait de la multiplication des labels éthiques, bios, équitables, écologiques … et le prix plus élevé des produits équitable reste un frein important pour les consommateurs.

Le bilan que dresse le site est celui ci :

« L’ouverture vers les produits éthiques, l’engagement citoyen, la réponse positive aux problématiques du développement durable sont une réalité. En particulier pour les personnes à fort niveau de diplôme, de revenus, de catégorie socio-professionnelle, qui vont elles-mêmes chercher les informations et « tirent » la filière vers le haut. Mais pour les autres ? Dans la mesure du possible (et de leur budget), une partie de plus en plus importante des consommateurs cherche à consommer « autrement », à aller vers des produits qui ont du « sens ». »

Donc si vous voulez connaître les étapes de le fabrication d’un T-shirt équitable, voir un exemple d’exploitation de café équitable au Brésil, suivre l’histoire d’un riz Thaïlandais jusqu’à votre casserole, savoir qui est Max Havelaar, faire le point sur les labels, savoir décomposer le prix d’un produit issu du commerce équitable, faire la différence entre éthique et équitable, connaître la politique d’achats de collectivités territoriales pour soutenir et faire grandir la filière ou encore poser des questions à des experts … c’est par ici !

www.jeconsommeequitable.fr

 

Un événement éco-conçu, c’est quoi ? 11 octobre 2010

La semaine dernière, je suis allée à un salon à Grenoble pour mon boulot et j’ai bien apprécié tous les efforts en matière d’éco-conception.

> les habillages des stands étaient en carton recyclé et recyclable

> à l’entrée, on m’a remis un sac en coton bio et éthique, avec à l’intérieur

> une clé USB en bois labellisé FSC

> un crayon dont la structure est en papier recyclé roulé

> sur le buffet, les assiettes étaient en carton recyclé et les couverts en bambous

Ce qui fait plein de bons points pour les organisateurs, et pour être tout à fait complète sur ce sujet, je préciserais :

> que dans ce genre d’événement le mieux est encore d’investir dans un stand qui va durer et non construit pour un seul usage (souvent ils sont composés de plusieurs matériaux et donc non recyclable) ou alors de l’éco-concevoir pour que les matériaux utilisés soient écologiques (aujourd’hui on fait des stands en carton très solides)

> que les brochures et autres documentations soient limitées au strict minimum et imprimées sur papier recyclé et/ou labellisé FSC ou PEFC,

> que les invitations soient envoyées par mail et non par La Poste,

> que la problématique des déplacements des invités et participants soient prise en compte en choisissant un lieu facilement accessible en transport en commun,

> que l’éclairage soit basse conso, les toilettes non chimiques, etc…,

et sachez aussi, pour finir, que des organismes comme Eco-Emballages accompagnent certains événements en proposant le tri sélectif.

Voici quelques prestataires que j’ai repérés mais biensûr il y en a plein d’autres :

traiteur : http://www.ethique-et-toques.com/

fournitures écologiques : http://www.versionecologique.com, http://www.unbureausurlaterre.com, http://www.toutallantvert.com, http://a3com-etik.com/

 

La chasse à l’huile de palme 17 juillet 2010

Filed under: Alimentation,c bon, c beau, c bio — greenmarie @ 5:34
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Il faut croire que j’aime les challenges car non seulement j’essaie d’acheter local, français, bio, équitable, sans emballage dès que possible mais en plus je traque l’huile de palme ! Et ça n’est pas facile croyez-moi car de l’huile de palme il y en a partout. En quoi est-ce un problème ? L’huile de palme représente aujourd’hui 80% des matières grasses utilisées dans l’industrie alimentaire : chips, biscuits apéritifs, margarine, biscuits sucrés, céréales, lait pour les enfants, pâtisseries, plats préparés, poisson pané, pâtes à tartiner, cosmétiques, etc… en effet le palmier à huile a le grand avantage d’être beaucoup plus productif que le tournesol, l’arachide ou le colza et d’être moins cher.  Ce sont bien ces seules qualités car cette huile est plutot néfaste pour la santé (elle bouche les artères) et sa production intensive en Indonésie et en Malaisie se fait au détriment de la forêt primaire locale, des animaux qui y vivent, et des conditions de travail de ceux qui récoltent les précieuses boules rouges. Les volumes utilisés par l’industrie agro-alimentaire et cosmétique des pays occidentaux sont tels que les conséquences environnementales dans les pays du sud producteurs sont désastreuses. Je vous avais déjà raconté tout cela .

Faites l’exercice de regarder la composition de la nourriture dans vos placards, si vous voyez huile végétale, palm oil, palm oil hydrogenated, glycol palmitate, c’est qu’il y en a. Je commence à avoir mes repères sur les produits qui n’en contiennent pas, voici quelques tuyaux :

bio ne veut pas dire sans huile de palme. La plupart des biscuits de grandes marques bio par exemple en sont bourrés … j’ai repéré que dès qu »il y a du chocolat, il y a de l’huile de palme. Du coup pour mes fistons je prends des barquettes à la fraise ou à l’abricot (Lu ou marques distributeur) ou encore des biscuits au beurre genre petit beurre, galettes au beurre, etc…

– mais j’ai également remarqué que la gamme Monoprix bio  n’en utilisait pas (ou alors je n’ai pas vu) dans les céréales, la pâte à tartiner au chocolat, les biscuits, etc…

– pour les pommes de terre surgelées ou le poisson pané, je ne prends plus que la marque Findus qui n’utilise que de l’huile de colza (et hop des oméga 3 en prime !). Vous verrez ce logo :

– sur les pâtisseries, dans les grandes surfaces, il y a aussi des pastilles avec une fleur de tournesol collées sur la boîte.

Il y a sûrement plein d’autres exemples, n’hésitez pas à nous les faire partager dans vos commentaires. Le mieux pour éviter l’huile de palme est encore de cuisiner soi même mais vous allez me dire 1/ on n’est pas tous des cordons bleus et 2/ quand on bosse ce n’est pas toujours facile. C’est vrai. Personnellement je cuisine peu mais j’arrive tout de même à éviter la cuisine industrielle et l’huile de palme en particulier. Avec un peu de vigilance, on s’y retrouve vite !

 

Ekyog, la marque éthique, écologique et à la mode 30 juin 2010

Il y a encore assez peu d’entreprises qui ont intégré dès le départ le développement durable à leur stratégie, mais il y en a de plus en plus. Et le succès est au rendez-vous, ce qui prouve qu’éthique et écologique peuvent être synonymes de réussite économique. En France, on peut citer Botanic, Nature & Découvertes, Alter Eco, Véja et donc Ekyog.

Le point commun des fondateurs de ces belles marques ? Vouloir concilier business et responsabilité d’entreprise. Si la plupart des entreprises dans le monde se voient bien obligées de proposer des gammes de produits ou services écologiques pour coller au marché, rares sont celles qui poussent la démarche à tous les niveaux de son fonctionnement. Ekyog fait partie de ces oiseaux rares qui ont de surcroit une très grande exigence quant à la qualité, au confort et la modernité des articles proposés : matières premières naturelles, bios ou recyclées (coton bios, laine, lin, Tencel à base de bois, soie, polyester recyclé), produits écoconçus, gestion éthique des partenaires et fournisseurs, cohérence de la stratégie d’entreprise en interne comme à l’externe, dans l’entreprise comme dans les boutiques (management valorisant, boutique écoconçues, équipements – cintres, parquets, meubles, publicités- fabriqués à partir de bois labellisé PEFC, 10% des revenus reversés à une fondation Ekyog qui promeut les pratiques écologiques et éthiques dans le monde). Sur les aspects mode à proprement parlé, les vêtements Ekyog sont sobres, confortables, féminins, entre sportswear et habillé ; de bons basiques selon moi que l’on garde parce qu’ils sont de bonne qualité et moins sujets aux changements de mode (l’anti H&M, quoi !). La gamme de prix est celle des marques comme Maje, Comptoir des cotonniers, Sandro, 123, etc, le supplément d’âme en plus !

Ekyog emploie aujourd’hui 150 personnes et annonce un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros ; impressionnant quand on imagine les difficultés rencontrées pour sortir des schémas traditionnels du commerce et de la mode ! Car biensûr, avoir une démarche aussi respectueuse de l’environnement et des hommes demande un surcroît d’énergie et de travail pour les fondateurs mais que la satisfaction doit être grande d’avoir réussi à concilier ses valeurs avec son métier ! Ils sont forts ces bretons 😉

www.ekyog.fr

 

Des banques plus responsables ? 14 juin 2010

Je ne sais pas si comme moi vous avez été scotchés par la dernière publicité du Crédit Mutuel qui montre le dialogue entre un père et son grand fiston sur sa banque. Alors là franchement je me suis dit, les choses changent quand même ! La remise en cause du capitalisme à outrance passe par ce genre de signe : aujourd’hui certaines banques mettent en avant leur probité ou leurs engagements solidaires pour gagner de nouveaux clients. Pour le Crédit Mutuel, l’argument est : Nos conseillers de clientèle ne sont pas commissionnés, c’est pourquoi ils vous offrent un conseil adapté à vos besoins. Cela revient enfin à avouer tout haut que les banques depuis plus de 20 ans ont fait évoluer la mission des conseillers vers celui de commercial qui se voit attribuer des primes s’il arrive à vous refourguer la super golden carte ou le crédit à la conso revolving qui enfonce encore plus  vos finances.

Pendant longtemps, les banques ont estimé qu’elles n’avaient pas de responsabilité directe sur le plan sociétal et environnemental parce qu’après tout, elles ne faisaient que prêter de l’argent ! Aujourd’hui, la responsabilité d’une banque qui prête de l’argent pour construire un barrage qui va déplacer des populations et noyer la biodiversité locale est avérée. Les amis de la Terre, premier réseau écologiste mondial, ont fait un travail salutaire en recensant les banques françaises finançant des projets contestables partout dans le monde.

Les banques ont désormais à coeur de s’aligner sur la demande croissante des consommateurs et mettent en place des produits d’ISR (Investissement Socialement Responsable). La pression pour responsabiliser les banques est forte en France grâce aux ONG, c’est peut-être pour ça qu’on n’a pas vu chez nous la publicité qui montre une planète à feu et à sang verdir grâce au Green Banking du Crédit Agricole et Sean Connery qui enfonce le clou du n’importe quoi avec un : « Back to the common sens, it’s time for green banking ». Mais que fait le Crédit Agricole pour justifier cette posture de justicier de la planète ? ben, c’est le premier financeurs des agriculteurs … ouais et alors c’est quoi le rapport ? comme quoi le cynisme de certains est sans limite.

Dans un genre tout à fait contraire, vous avez le Crédit Coopératif, qui communique beaucoup en ce moment, pour rencontrer ceux qui veulent que leur argent ait un sens, qu’il finance des associations sociales, caritatives et environnementales, des projets de retour à l’emploi ou de logement des plus démunis, de création d’entreprises dans l’aide sociale ou les énergies renouvelables, etc… depuis 1983, plus de 33 millions d’euros de dons ont été versés par son intermédiaire. Et je peux témoigner de la probité de ses conseillers qui ne font aucun forcing pour placer quoi que ce soit !

 

Un site marchand de produits éthiques et écologiques by ebay 3 Mai 2010

Filed under: culturel,Les bonnes pratiques — greenmarie @ 9:04
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Voilà une belle (bien que tardive) découverte pour moi : le site marchand worldofgood.com lancé en 2008 par ebay qui propose un large choix de produits éthiques, éthniques, écologiques et biologiques issus du monde entier et surtout des pays du Sud. Les artisans et artistes locaux proposent à la vente leur production en direct et à prix fixe (pas d’enchères ici), l’internaute est guidé par de sigles qui indiquent les caractéristiques du produit concernant le respect de la vie animale, le commerce équitable/améliorations sociales, l’impact environnemental, le soutien à une cause mais aussi une présentation de l’origine des produits, de leur histoire et des personnes qui les façonnent.

Ce qui donne une offre très large, très hétérogène et l’on a plaisir à flaner sur le site pour faire des découvertes amusantes ou séduisantes. J’ai particulièrement apprécié les jouets, les bijoux, les sacs et cabas, je suis moins fan des vêtements qui sont quand même très typés éthniques … Green Marie question mode est assez classique, qu’on se le dise 😉

Ces produits artisanaux sont souvent distribués dans des réseaux confidentiels et de façon très limitée par certaines chaines de distribution spécialisée, worldofgood est donc une réponse opportune à la demande croissante d’objets qui ont d’autant plus de valeur qu’ils ont du sens …

http://worldofgood.ebay.com/

 

Tout beau, tout bio ! 30 avril 2010

Quitte à rhabiller la famille autant le faire avec des vêtements en coton bio n’est-ce pas ? et quand bio rime avec beau et rigolo, moi je n’hésite pas ! Voyez ce monstre vert qui réclame une Green City et cet ours qui trouve que le bio c’est cool (et que la banquise devrait rester cool/froide elle aussi), j’ai trouvé ces sympathiques petites choses chez Monoprix et Petit Bateau. Le must ? les T-shirts proposés par Monoprix et illustrés par des créateurs sont bios et équitables : le coton labellisé bioRé assure des conditions de vie et de travail dignes à des cultivateurs d’Inde et de Tanzanie.

A partir de 12 euros, dont 1 reversé à la fondation suisse bioRé.